Brèves

Les idées de LaRouche présentes au sommet de la Ligue arabe

mercredi 25 avril 2001

Un article publié dans le quotidien saoudien officiel Al-Riyadh le 26 mars, veille du sommet de la Ligue arabe, indiquait que les dirigeants arabes allaient discuter du problème de l’effondrement financier et économique mondial, ainsi que des propositions pour le surmonter au moyen d’une réforme monétaire, idées développées par Lyndon LaRouche.

Quelques semaines avant le sommet, un « mémorandum de l’EIR au Sommet arabe, concernant l’intégration des économies arabes dans le cadre du pont terrestre eurasiatique et d’un nouvel ordre financier » avait circulé parmi tous les représentants gouvernementaux et les grands organes de presse. Ce mémorandum a été repris par plusieurs journaux arabes, notamment le Middle East Online, avant et pendant le sommet.

Al-Riyadh note ainsi : « Le fait que l’ordre du jour ait été limité à quatre points, dont la question économique, reflète l’importance que les Etats et les dirigeants arabes attachent à l’avenir de la région. (...) D’autant plus que l’économie a été la deuxième préoccupation du sommet, parallèlement aux questions politiques. » En outre, le quotidien saoudien fait spécifiquement référence à des propositions présentées par Lyndon LaRouche, comme la route de la soie (...) et le plan Oasis, qui vise à lancer une guerre contre le désert. »

L’article note que la rédaction d’Al-Riyadh avait reçu une copie du mémorandum qui « affirme que les Etats arabes sont maintenant priés de devenir une partie vitale de l’économie mondiale, précisant que les Arabes doivent se joindre à la marche vers le développement économique international ». Le mémorandum appelle les dirigeants arabes « à discuter et à planifier le développement de projets conjoints d’infrastructure, et des projets arabes conjoints de chemins de fer, routes et infrastructure devraient commencer immédiatement ». L’article fait également référence aux accords de « pétrole contre technologie » proposés par LaRouche, conclus d’Etat à Etat, ainsi qu’à la mise en place d’« une banque de développement régional, allouant 30 à 40 milliards de dollars aux projets d’infrastructure, un besoin pressant pour le monde arabe. »