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LaRouche révèle au grand jour l’escroquerie « écologiste » d’Al Gore

mardi 6 mars 2007

Depuis l’Oscar décerné à l’ancien vice-président Al Gore pour son « film documentaire » sur le réchauffement global, fin février, on assiste à un battage constant autour de cette thèse, scientifiquement frauduleuse. Dans un article rédigé le 3 mars, Lyndon LaRouche la dénonce sans complaisance. Pour lui, « il ne s’agit pas d’une simple divergence d’opinion, mais d’une question existentielle ». Si la politique prônée par Al Gore est effectivement mise en œuvre, la civilisation est condamnée, tandis que pour en assurer la continuation, c’est une tout autre politique qu’il faut adopter.

LaRouche développe trois points. D’abord, le caractère frauduleux de la propagande de Gore ; deuxièmement, la question scientifique plus large, à savoir les considérations fondamentales gouvernant les cycles de réchauffement et de refroidissement de la Terre ; et troisièmement, la véritable motivation stratégique derrière la promotion des accords de Kyoto en ce moment précis. Le texte de cet article est disponible en anglais sur www.larouchepub.com.

L’offensive lancée par LaRouche contre Al Gore secoue Washington

Dès la reprise des sessions du Congrès à Washington, le 25 février, le mouvement politique de Lyndon LaRouche aux Etats-Unis est parti en guerre contre l’escroquerie propagée par Al Gore, selon laquelle le réchauffement global serait dû au CO2. A Washington, les jeunes larouchistes (LYM) se sont montrés particulièrement actifs, provoquant une polarisation marquée au Congrès en incitant les élus à reconnaître la fraude et à adopter les seules mesures économiques permettant de relancer l’économie réelle, à commencer par l’énergie nucléaire.

Cette mobilisation coïncidait avec un déferlement de chocs financiers à Wall Street et sur les Bourses du monde. Les élus ressentaient donc bien la crise, sans savoir comment y faire face. D’autant plus que les arguments de LaRouche contre Gore se heurtent à tous les préjugés qu’ils défendent depuis trente ans.

Les militants du LYM sont intervenus lors de différentes auditions, conférences et meetings politiques promouvant la thèse frauduleuse d’Al Gore. Signalons notamment l’intervention du jeune militant Cody Jones lors de la présentation au National Press Club du Dr James Hansen, directeur de l’Institut Goddard des études spatiales de New York et l’un des principaux porte-parole du réchauffement global. Après la diatribe habituelle de l’« expert », Cody Jones fit remarquer que toute cette thèse repose sur des données fort peu scientifiques, avant de mentionner les travaux démontrant que l’augmentation du CO2 due à l’activité humaine n’est pas à l’origine du réchauffement global. (Voir le texte en français concernant ces travaux en cliquant ici.) Pour toute réponse, Hansen rétorqua : « Je ne sais pas de quoi vous parlez », exigeant que Jones lui présente du matériel « accepté par les autorités » pour appuyer ses arguments.

Cette confrontation, intégralement filmée par la chaîne C-Span, montre bien que Hansen est un imposteur, puisque les travaux indiquant que dans les années 1940 et 1950, les émissions de CO2 étaient plus élevées qu’aujourd’hui, ont été effectués par des dizaines de chercheurs, dont des lauréats du Prix Nobel. Mais les nouveaux croisés du réchauffement global refusent de prendre en compte tout ce qui pourrait contredire leur idéologie.

Cette intervention du LYM, très largement répercutée dans les médias, n’est qu’un exemple de ce qu’ont fait les jeunes militants depuis lors à Washington et sur les campus alentours. Apparemment, ceux qu’ils dénoncent n’ont pas encore préparé leur riposte.