Brèves

Commentaire de LaRouche sur Al Gore et le culte oligarchique

mardi 27 mars 2007

C’est avec un important article à paraître dans l’Executive Intelligence Review (EIR) du 30 mars (« The Gore of Babylon »), que Lyndon LaRouche attaque la fraude du « réchauffement climatique » : elle découle du principe oligarchique profondément anti-humain sur lequel repose toute cette idéologie. Son essai est accompagné d’un dossier de 30 pages sur les racines du mouvement malthusien raciste créateur du « gourou écologiste » Al Gore et dirigeant la campagne contre l’industrialisation, mais aussi une nouvelle bulle spéculative fondée sur l’échange de droits d’émission de carbone.

LaRouche fait remonter le fascisme environnemental d’aujourd’hui à l’époque du culte de Dionysos à Delphes, l’opposant au principe mis en avant par Echyle dans Prométhée enchaîné. Il est impossible de comprendre Al Gore, écrit-il, « sans reconnaître en lui un écho, non seulement du fascisme du XXème siècle, mais aussi, dans ce sens historique spécifique, de l’exemple fourni par Echyle dans Prométhée enchaîné.

Il est absolument urgent, selon lui , que le monde adopte immédiatement une politique de développement économique rapide, basée sur la fission nucléaire et la fusion thermonucléaire. L’alternative promue par les environnementalistes mènerait tout simplement à un génocide et c’est dans ce contexte qu’il faut situer la bataille contre tout ce que représente Gore.

Dans le dossier, une équipe de recherche de l’EIR présente certaines des réalités financières et historiques derrière cette arnaque, dont l’ancien vice-Président américain est devenu la figure de proue. Il apparaît que toute l’affaire des droits d’émission de carbone est destinée à créer une nouvelle bulle spéculative, de la part des ces institutions qui propagent la psychose du « changement climatique ». L’origine historique de cette bande de malthusiens modernes remonte aux travaux de Cecil Rhodes et à la clique impérialiste britannique qui allait soutenir la politique eugéniste des nazis, avant de créer un autre mouvement destiné, lui aussi, à éliminer les « indésirables », sous prétexte d’un manque de ressources pour subvenir aux besoins de tous, tout en assurant la « propreté » du monde.