Campagnes - Pétition

Lettre ouverte aux gouvernements et aux parlements du monde
Désamorçons la psychose du réchauffement planétaire

mardi 15 mai 2007

L’Institut Schiller, dont la présidente internationale est Helga Zepp-LaRouche, a lancé une campagne visant à regrouper en une opposition efficace les adversaires de la propagande sur le réchauffement climatique. A cette fin, il diffuse la pétition suivante.

Nous, soussignés, exigeons que les parlements et gouvernements du monde cessent immédiatement de propager des campagnes hystériques sur le prétendu « changement climatique ».

Depuis la sortie du film si peu scientifique de ce directeur de fonds spéculatif qu’est Al Gore, et depuis la publication du quatrième rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC), on assiste à un véritable endoctrinement des populations et de leurs dirigeants, voire même, parfois, à des « campagnes de rééducation » des jeunes dans les écoles. Contrairement à cette avalanche de propagande, le fondement scientifique de l’hypothèse d’un changement climatique provoqué par l’homme (anthropogène) n’a pas été établi, et la présentation par les médias d’un prétendu consensus parmi la communauté scientifique est à la fois dangereuse et trompeuse pour la population.

Cette théorie est répandue dans le monde par un cercle restreint d’institutions politiques douteuses comme le GIEC, amplement financées. L’un des premiers signes de résistance dans la communauté scientifique fut le projet de pétition de l’Oregon Institute of Science and Medicine dénonçant les effets nocifs du protocole de Kyoto, signée par 17 200 scientifiques depuis 1998.

Pour répondre aux défis existentiels du XXIème siècle, tels que le manque d’eau et d’énergie pour une population en pleine croissance, une augmentation considérable de la production énergétique est nécessaire et ne pourra se réaliser qu’à l’aide du progrès scientifique et technologique.

Les mesures destinées à économiser l’énergie ou à en améliorer l’efficacité ne tiennent pas compte de cette réalité, pas plus que du fait que l’économie d’électricité ainsi réalisée par les particuliers est minime par rapport à la consommation requise par l’industrie et le transport commercial à l’échelle mondiale.

Alors que l’approvisionnement énergétique dans le monde est déjà compromis par le manque d’investissement dans le nucléaire civil, la réduction des émissions de CO2 dans les proportions actuellement proposées donnerait le coup de grâce au développement économique et industriel mondial.

L’aspect le plus tragique, le plus perfide, des mesures politiques et économiques actuellement réclamées par les pays industrialisés, est de prétendre les adopter au nom des générations futures ou des pays sous-développés, qui sont précisément les premiers à pâtir de cette politique anti-industrielle censée « protéger le climat ». L’Organisation de l’unité africaine, le Groupe des 77 de l’ONU et le Mouvement des pays non-alignés ont déjà averti que la mise en œuvre effective à l’échelle internationale de mesures de réduction du CO2 empêcherait le développement industriel, et donc le développement social, conduisant par là même à un génocide à l’échelle de la planète.

Face à la profonde crise économique et sociale qui mine nos pays, il est complètement irresponsable non seulement de promouvoir comme véridique une hypothèse non prouvée, mais par-dessus tout, de propager une image de l’homme aussi pernicieuse, aussi existentialiste et aussi anti-humaniste. Les racines historiques de ce mouvement prétendument « écologique » - comme l’a confirmé Martin Durkin, le producteur du documentaire diffusé par la chaîne britannique Channel 4 (The Great Global Warming Swindle), dans une interview le 14 mars, et comme le montrent les documents historiques - sont fort proches de celles du fascisme et du mouvement eugéniste du début du XXe siècle.

Par conséquent, nous demandons aux gouvernements et aux parlements du monde de permettre un débat ouvert sur le sujet, d’arrêter immédiatement l’endoctrinement dans les écoles au moyen du film de propagande d’Al Gore et de n’autoriser l’adoption d’aucune loi reposant sur une théorie aussi douteuse et aussi évidemment politisée.