25 octobre 2007 (LPAC) - Alors qu’en France ou aux Etats-Unis, les puissances médiatiques ont fait le choix de ne pas sortir un mot sur LaRouche, en Russie il en va tout autrement. La perspective des « 4 puissances » initiée par LaRouche est discutée dans de nombreux médias : :
- Une interview de LaRouche est parue dans le RPMonitor, magazine internet d’analyses politiques, sous le titre : « La menace vient de Londres : défaire l’oligarchie mondiale est la tâche commune des Etats-Unis et de la Russie. » L’interview a été reprise sur une quinzaine d’autres sites internet et blogs de taille significative.
- Le mensuel Smysl, publié par l’agence de presse Rosbalt, dans son édition de juillet 2007 sur la question de « la fin du capitalisme » et du système de mondialisation met LaRouche à la une. Parmi des articles écrits par des universitaires et des experts russes, Smysl a titré son interview : « Le penseur politique Lyndon LaRouche pense que nous devons changer les principes de la politique actuelle. » Dans cette interview, LaRouche souligne la nécessité pour le monde d’une « nouvelle forme de coopération entre les Etats-Unis, la Russie, la Chine et l’Inde. Ce concert de nations pourrait mobiliser les autres pays du monde pour effectuer des changements de politique, qui dans de nouvelles conditions nous permettraient d’accomplir les objectifs du président Roosevelt ainsi que les nouveaux défis de notre époque. »
- Le professeur Yuri Gromyko de l’Académie russe de la Culture et de l’Education, a écrit un article dans l’édition de septembre 2007 du magazine Political Class. Il montre comment LaRouche défend une approche rooseveltienne de l’économie, avec une nouvelle politique industrielle pour l’Asie, qui serait soutenue par des avancées scientifiques et des transferts de technologies.
- L’activiste politique Alexei Podberyozkin, dans un article du 19 octobre, suggère de jeter un œil sur les propositions de LaRouche face à la crise économique internationale : « L’alliance des Etats-Unis, de la Russie, de la Chine et de l’Inde dans un vrai programme des Nations Unies est une précondition indispensable qui ne doit être sacrifiée sous aucun prétexte. »
