29 août 2008 (LPAC) – « La nomination du sénateur Barack Obama, combinée à la perspective de la nomination du sénateur John McCain, n’a presque rien réglé en dehors du fait de ces nominations en elles-mêmes. Aujourd’hui, le monde entier est saisi par un potentiel croissant de vraie crise d’affrontements thermonucléaires, comme jamais auparavant, alors même que la plus grande crise financière et économique depuis le quatorzième siècle en Europe, tient le monde entier dans ses mains – que les gouvernements et les principales figures politiques veuillent reconnaître cette réalité ou non.
« L’actuel système financier international est désespérément en banqueroute, et ne peut pas être sauvé. Il peut seulement passer en réorganisation de banqueroute, conçue pour défendre les gens, non pas les spéculateurs financiers.
« Aucun des deux candidats dont j’ai parlé n’a, à l’heure qu’il est, la moindre capacité de relever avec succès les graves défis, de ruptures d’économies entières et de menaces d’échanges nucléaires, que l’on doit envisager comme de sérieuses possibilités d’ici à novembre.
« Comme le montrent déjà certains types de développements récents, nous avons une aptitude intellectuelle d’une importance unique dans ce processus. Notre rôle le plus proéminent, comme dans les travaux du LPAC, est de fournir le leadership intellectuel sur les questions économiques et autres questions stratégiques cruciales, qu’aucune de ces candidatures n’a la compétence de traiter sans conseil extérieur, notamment celui qui vient de nos initiatives.
« Par conséquent, notre campagne du LPAC a une importance bien plus grande pour les semaines immédiatement à venir, qu’à n’importe quel moment auparavant. Nous devons donc mobiliser en conséquence. »
