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Alerte : « L’occasion est trop belle pour que les britanniques la laissent passer »

lundi 24 novembre 2008, par Lyndon LaRouche

24 novembre 2008 (Nouvelle Solidarité) – Samedi, alors que les Etats-unis vivaient le 45e anniversaire de la mort du président Kennedy, Lyndon LaRouche a catégoriquement réitéré sa mise en garde contre les menaces d’assassinat du président élu Barack Obama, soulignant que le plus grand danger se situe entre maintenant et le 20 janvier, date de son investiture, puisque George Bush et Dick Cheney sont encore au pouvoir.

« L’assassinat de Barack Obama pendant que George Bush est encore à la Maison blanche est ce qu’il y a de plus dangereux et désastreux pour les Etats-Unis et le monde. Le plus grand danger est donc d’ici au 20 janvier, jour de l’investiture d’Obama comme 44e président des Etats-Unis », a déclaré LaRouche.

« L’occasion pour déclencher un état d’urgence dont la démocratie américaine ne se relèverait jamais, est trop belle pour que les Britanniques la laisse passer », a-t-il souligné. « Regardez la désintégration du système financier mondial qui a lieu depuis juillet 2007, telle que j’avais prévenu dans ma conférence internet du 25 juillet 2007. Le système libéral anglo-hollandais de mondialisation, de libre-échange et de spéculation effrénée est mort. Dans ces circonstances, l’oligarchie financière britannique redoute plus que tout une résurgence aux Etats-Unis des politiques menées sous la présidence de Franklin Roosevelt. Leur haine de Roosevelt est presque aussi forte qu’à l’encontre de Lincoln. Et comme même les archives officielles le prouvent, ce sont les britanniques qui ont assassiné Lincoln ».

« Lincoln venait juste d’être réélu pour un second mandat et la perspective de ce qu’il pourrait faire horrifiait les britanniques. Les confédérés, téléguidés par ces derniers, venaient d’être battus, et les britanniques détestaient tout ce que Lincoln pouvait représenter et tout ce qu’il était en mesure d’accomplir : le développement industriel du pays qui était sur le point de devenir une république continentale grâce à la réalisation de la voie ferrée Transcontinentale ».

Depuis les premiers jours de notre république, a-t-il dit, « les britanniques ont assassinés nos dirigeants fidèles à cette république, en commençant par le secrétaire au Trésor, Alexander Hamilton, assassiné par un traître, Aaron Burr, agent des britanniques. Puis il y a eu Lincoln, McKinley et Kennedy ».

« Les britanniques savent bien que l’assassinat d’Obama, pendant que George Bush est encore en place, déchirerait les Etats-Unis et causerait, après 200 ans d’existence, la fin de notre république constitutionnelle. En regardant ce qui s’est passé dans la foulée des attaques du 11 septembre, vous pouvez facilement vous faire une idée des politiques répressives que Cheney et sa marionnette pourraient imposer dans le contexte du chaos qu’engendrerait l’assassinat d’Obama ».

« Empêcher cette trahison britannique est une question de sécurité nationale. Dans l’éventualité d’une atteinte à la vie d’Obama, promue dans la presse britannique depuis le jour de l’élection, le monde entier doit connaître l’adresse des commanditaires ».

Vidéo pour approfondir : 1932, le Système américain contre l’Empire britannique