Quand Rosa Luxemburg dénonçait "les bonzes du Parti socialiste", elle parlait de ces dirigeants qui tiennent plus à leur siège qu’au bien être de leur population et culmulent malencontreusement les compromis avec le système qui les nourrit. C’est ceux-là même qui n’ont pas vu venir le mécontentement de leurs électeurs. Une erreur qui tend à se répéter au sein du PS actuel.
Quand Rosa Luxemburg dénonçait "les bonzes du Parti socialiste", elle parlait de ces dirigeants qui tiennent plus à leur siège qu’au bien être de leur population et culmulent malencontreusement les compromis avec le système qui les nourrit. C’est ceux-là même qui n’ont pas vu venir le mécontentement de leurs électeurs. Une erreur qui tend à se répéter au sein du PS actuel.