Les motivations de Larouche sont difficiles à interpréter : il s’agit soit
––– 1. d’une des variétés de l’extrême-droite
––– 2. d’un effort de déstabilisation d’initiative russe. Seule constante en effet dans le discours de Larouche, les conclusions auxquelles il aboutit coïncident avec les intérêts de l’Union Soviétique jusqu’en 1989 et avec ceux de la Russie depuis (il abandonne brutalement son jargon marxiste-léniniste en 1989 pour invoquer plutôt Platon et Schiller).
––– 3. d’un attrape-mouches de tous les extrémismes, contrôlé en réalité par les autorités américaines. Dans ses deux autobiographies successives, Larouche renvoie au même incident comme
3.1. s’expliquant par le fait qu’il est alors téléguidé par le FBI, mission qu’il aurait acceptée pour parer à un danger pour la sécurité nationale – dans la version de 1974 ;
3.2. s’expliquant par la force de sa conviction marxiste-léniniste – dans la deuxième version, de 1988.
Les motivations de Larouche sont difficiles à interpréter : il s’agit soit
––– 1. d’une des variétés de l’extrême-droite
––– 2. d’un effort de déstabilisation d’initiative russe. Seule constante en effet dans le discours de Larouche, les conclusions auxquelles il aboutit coïncident avec les intérêts de l’Union Soviétique jusqu’en 1989 et avec ceux de la Russie depuis (il abandonne brutalement son jargon marxiste-léniniste en 1989 pour invoquer plutôt Platon et Schiller).
––– 3. d’un attrape-mouches de tous les extrémismes, contrôlé en réalité par les autorités américaines. Dans ses deux autobiographies successives, Larouche renvoie au même incident comme
3.1. s’expliquant par le fait qu’il est alors téléguidé par le FBI, mission qu’il aurait acceptée pour parer à un danger pour la sécurité nationale – dans la version de 1974 ;
3.2. s’expliquant par la force de sa conviction marxiste-léniniste – dans la deuxième version, de 1988.
––– 4. d’un gars sincère, dont la pensée évolue