Merci à Agnès et à Karel pour cet excellent article.
Merci à monsieur Bernard Debré pour son commentaire et surtout son action au sein du comité de bioéthique dans la droite ligne de ses grand-père et père.
Pour éviter les procédures juridiques qui pourraient s’ensuivre, un article sera ajouté au code de la santé, destiné à régir la situation des malades en fin de vie (conscients), s’entretenant en « colloque singulier » avec leur médecin : « Lorsqu’une personne en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, décide de limiter ou d’arrêter tout traitement, le médecin doit respecter sa volonté après l’avoir informée des conséquences de son choix. La décision du malade est inscrite dans son dossier médical . » « Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l’article L. 1110-10 [ce qui précède]. » Ah ! L’honneur est sauf.
Si on suit une certaine logique de raisonnement, pourrait-on appliquer ces raisonnement-lois à ceux qui nous gouvernent...
...en effet, il faudrait trouver une formulation au sujet de leur "stupidité" qui aille dans le sens qu’ils veulent appliquer pour la fin de vie des autres ...
Merci à Agnès et à Karel pour cet excellent article.
Merci à monsieur Bernard Debré pour son commentaire et surtout son action au sein du comité de bioéthique dans la droite ligne de ses grand-père et père.
Pour éviter les procédures juridiques qui pourraient s’ensuivre, un article sera ajouté au code de la santé, destiné à régir la situation des malades en fin de vie (conscients), s’entretenant en « colloque singulier » avec leur médecin : « Lorsqu’une personne en phase avancée ou terminale d’une affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, décide de limiter ou d’arrêter tout traitement, le médecin doit respecter sa volonté après l’avoir informée des conséquences de son choix. La décision du malade est inscrite dans son dossier médical . » « Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l’article L. 1110-10 [ce qui précède]. » Ah ! L’honneur est sauf.
Si on suit une certaine logique de raisonnement, pourrait-on appliquer ces raisonnement-lois à ceux qui nous gouvernent...
...en effet, il faudrait trouver une formulation au sujet de leur "stupidité" qui aille dans le sens qu’ils veulent appliquer pour la fin de vie des autres ...